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MessageSujet: Re: Winnipeg SUN.com    Winnipeg SUN.com  - Page 8 Icon_minitimeMar 18 Juin - 23:11

Merci pour McMilan d'ailleur lors de notre cyber baise la saison passée mon charlie:)
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MessageSujet: Re: Winnipeg SUN.com    Winnipeg SUN.com  - Page 8 Icon_minitimeMar 18 Juin - 23:43

ahah épic !
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MessageSujet: Re: Winnipeg SUN.com    Winnipeg SUN.com  - Page 8 Icon_minitimeSam 22 Juin - 0:01

Hahaa mechant maladee
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Charlie09
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MessageSujet: Re: Winnipeg SUN.com    Winnipeg SUN.com  - Page 8 Icon_minitimeJeu 1 Aoû - 1:41

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Winnipeg-aborigène || Une démoulure de "3x3 inc" [montage néo-cheap inclus]

 
10-4 Roger that, ready pour un dispatch.

Que vous soyez allés voir Roch Voisine aux Francofolies, quasi à jeun, ou le vieux routier Jim Zellers et son Jack Daniel's au festival de Jazz, on en convient qu'il faut s'occuper durant l'été, faire semblant que tout va bien. Quoi ? Le Noël des campeurs et son tirage moitié-moitié vous ont rendu émotif ? Aussi bien visiter le festival de la mouette : amène ta casquette ! Bref, on combat l'angoisse du « off-session » comme on le peut. On vire carrément sur le top, mais on pratique notre dextérité au besoin. Genre, en roulant des deux-papiers. Trois-papiers? Envoye-donc, quatre-papiers et une sourie verte, puis le travail on verra demain. On voit aussi notre consommation d'alcool dépasser notre capacité vitale durant la St-Jean : « Le gros, j'espère que t'es là parce que j'te voué plus vraiment ». Soudainement, on se rend compte que notre seul entrainement durant l'été consiste à lever le poids de nos bouteilles vides, question d'aller faire le plein au dépanneur. Le cardio ? C'est de courir après le chien qui vient de se sauver avec notre dernière paire de bobettes propres. L'hécatombe de la forme physique qu'on vous dit, la triste réalité qui nous envahie, puis ce bon vieil ami « Hernie » (discale) qui se manifeste lors d'un déménagement le 1er juillet. On ne calcule plus les excès, on s'envoie même du BBQ dans le « lendemain de veille » pour déjeuner. Le tout s'aggrave avec une fulgurance étonnante, l'amour-propre qui part en vacance allez-simple seulement, et on se dé-tag rapidement d'une photo à la plage sur Facebook, se disant un truc du genre : « Mon Dieu que j'suis pas en shape ».

Parlant de Dieu, sachez qu'il a contacté la RSHL pendant l'été. Oui, le snoro voulait avoir un passe-droit afin d'entrer dans la ligue, genre avec un autre club que les pauvres Insulaires de merde. On a évidemment tenté de négocier le tout contre une centaine de vierges adultes, mais il a fermé la discussion. Impossible en 2013, qu'il a dit. Zut !

Anyway, l'entre-saison a fait des ravages chez la clientèle et le Winnipeg Sun s'est mis en veilleuse trop longtemps. Pendant ce silence, certaines shits virales ont fait leur cyber-bonhomme de chemin sur l'Internet, en l'occurrence Guylaine Gagnon. J'veux dire, sérieusement ?! Concernant cette charmante brûlée, elle qui arbore des cheveux digne d'une ex-reine du bal, voire qu'elle ne les aurait pas lavés depuis, des dents jaunes comme l'héroïne et une gueule qui shake, l’organisation des Jets tient seulement à rappeler que ça aurait été facile de s'en débarrasser. En effet, c'est comme un chat en rabète dans 'ruelle, quelqu'un doit simplement lui insérer un balai dans l'cul pour qu'il cesse. Pensez-y la prochaine fois.


Le Sharknado rebrousse chemin.    

Non mais, y’en a-tu des puissances cette saison ? C’est à vous qu’on parle, terriens, mesdames, messieurs, chimères, l'œil de Sauron, les autres. Tout le monde est rivé sur la huitième saison RSHL. On va se le dire, le line up de certaines formations comme les Sharks, les Canucks, les Blue Jacket, les Pingouins et les Boltz – ce sont nos choix – semble aussi pesants et incisif qu'un gros rif de guitare effectué par Zak Wylde. Il te crache dessus pendant que tu l'adules, mais tu restes frénétique devant le « masterpiece ». Respect.

L’attaque des Pingouins, en autres, pourra probablement soulever un quadraplégique s'il s'en donne la peine, car oui, elle pourrait faire rugir des fans sourds et muets à elle-seule certains soirs. Bref, oui la défensive et les gardiens engendrent des questionnements chez les confrères, mais soyons francs, cette force de frappe pourrait sérieusement faire frétiller un groupe de féministes si elle le voulait. Ce n'est pas rien.

Vous le savez, le DG des Sharks de San José vogue généralement au grès de sa bipolarité, spécialement lorsque Sudafed et O'keefe-tablette font surchauffer son système. Il aura connu une saison de type ulcère la saison passée, voire que ce fut l'angoisse totale. Puis : BOUMSHAKALAKA! Il est promptement devenu une tornade enflammée, à l’aube de la huitième saison. Une tornade enflammée? Oui, même le Sharknado en serait effrayé. On se rappellera qu’à un certain point, les Sharks faisaient penser à un vieux butch de cigarette qu'un itinérant récupère et écrase pour de bon : y reste pu grand-chose de fumant là-dedans. Il y avait une bonne équipe dans cette boite, mais le rendement collectif avait abruptement pris des allures de mauvaises journées en Cyrie et, rendu-là, cette association s’en allait directement là où se trouve Jimmy Hoffa. Quelle bonne blague, un classique. Qu'à ces métaphores aussi drôles qu'un frigidaire vide ne tiennent, l'espoir stimulait pour ce fameux FBS.

La motivation dans le toupet et le regard du Rocket Richard dans le strabisme, Yvon-Junior a continué d'avancer. Un peu comme lorsque Jean-Maurice swingne la bonne femme dans la couchette, il n’a pas ménagé pas les efforts. Il est allé chercher des gros morceaux tels que Ryan Getzlaf, Niklas Backstrom et Oliver Larsson. Doux Jésus Sainte-Marie mère de Dieu, envers et contre tous, est-ce que les Requins remonteront à la surface ? On vous gage un vieux deux piastres en papier que oui. Comme une crème...          

Il y a aussi les Canucks, oh ! Il ne faudrait surtout pas vendre la peau de l’épaulard, champion en titre, avant d'avoir obstrué ses bronches avec un déversement de pétrole. À l'humble avis généralisé, on risque même d'encenser le tout autant que du simonac de gros stock. Seront-ils les champions pour une deuxième saison de suite, bonne question, mais leur parcours risque d’être excitante et on verra assurément apparaitre des WOW en CAP LOCK dans leur cas. Avec Jordan Staal et Bobby Ryan au sommet de leur forme, entres autres, les Canucks seront assurément un sujet aussi chaud que du Chili sous le soleil, assez pour faire fondre la glace sous leurs pieds, tellement qu’on risque de surnommer cette formation : Le Cactus Mexicain de Vancouver.

À Columbus, l'euphorie des deux premières saisons RSHL-ienne semble être retrouvée, car le plan simili-quinquennal de Martin Brunette est sur le point de payer et, à l’aube de la prochaine saison, les fans sont aussi agités qu'un revolver dans 19-2. Avec l’ajout de Mason Raymond, jumelé au reste de la formation, il faudra probablement contacter l'ONU, car les Manteaux Bleus semblent être sur le point d’un processus de génocide. En mode mitraillette d'assaut, les médias risquent d’en avoir que pour cette formation ; elle qui est aussi équilibrée qu’un octogénaire qui déjeune aux All-Bran. Renversant, superbe, comme une giclée dans le quartier guai, cette salve d'encouragement sera la bienvenue. Car après que l’équipe aille remporté deux championnats back à back, un ménage s’imposait, puis Martin Brunette avait cette tâche ingrate et des critiques lui étaient tombées dessus ; un peu comme les déraillements de trains sur le pauvre monde. Et vous savez quoi ? Au bout du compte, si le succès devient réalité, ce sera bien mérité tabernacle, car il aura franchi presque tous les obstacles, puis notre chapeau s'élèvera bien haut à son comeback.

Z'avez déjà oublié Tampa Bay ? Oui, ce club sera sous le radar, car la patience de JP Mercier rapporte les dividendes et l'équipe est allé en finale l'an dernier. Vous vous souvenez maintenant ? Alors, ayant gouté au succès, Sidney Crosby et sa bande seront à prendre au sérieux. Tsé, c'est un peu comme la première fois qu'on mange de la bonne chatte, ça a un goût de chiotte, mais pour une raison qu'on ignore, la testo intérieur nous pousse constamment à en redemander. Y manquerait juste un bon stérilet (gardien de but) chez les Boltz, pis l'affaire pourrait fructifier gros temps chez les bookies sportifs. Est-ce que le boss nous sortira un cerbère de son chapeau? Faut-il consulter l'horoscope du magazine le Sept Jour, ou encore la diseuse de bonnes aventures qui crèche au marché aux puces Le Métropolitain ? Non, chers coquins qui n'êtes pas patient pour deux cennes, chère génération de tout cuit au micro-onde que vous êtes, seul l'avenir nous le dira.
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MessageSujet: Re: Winnipeg SUN.com    Winnipeg SUN.com  - Page 8 Icon_minitimeJeu 1 Aoû - 12:46

Le Cactus Mexicain de Vancouver... Lol

Oui Cinq bon choix (Pitts, S-J, T-B, Clb et Nucks), faut pas oublier des équipes comme : Mtl, Philly, Rangers, Calgary et Phoenix

Lâche pas toujours plaisant de te lire surtout en cette période calme....Winnipeg SUN.com  - Page 8 1725891548
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MessageSujet: Re: Winnipeg SUN.com    Winnipeg SUN.com  - Page 8 Icon_minitimeMer 7 Aoû - 2:14

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Juliet, Echo, Tango, Sierra. Nom de code : Jets ! À l'aube de cette huitième saison RSHL, il suffit de se mettre le nez dehors afin de fleurer l'odeur du napalm, lui qui surchauffe chez l'ennemi. Les troupes se mobilisent sur tous les territoires, les armes de destruction massives se déploient et les défenses d'états sont sur la sellette. Code rouge, oui, car le mouvement de guerre prend de l'ampleur. La vérité ? Les équipes sont de plus en plus coriaces et la parité traduit la réalité dans cette ligue. Voilà ce qui se passe dans le monde du sport. En d'autres mots, ça va faire « crac-boum-hue » bientôt, comme dirait ce bon vieux colonel Sodom.      


Éther démoniaque, badtrip et flashback.

Étranges souvenirs de cette conquête des Jets, une page tendue de l'histoire RSHL-ienne. Une saison a passé déjà : pas de séries éliminatoires dans leur cas ? Ça parait plutôt une vie entière. Le genre de zénith qui ne se reproduit jamais. Amenez la coupe à Winnipeg, dans les circonstances, signifiait vivre à fond Léon et dans un climat bien particulier. Mais aucune explication, aucun mélange de mot, de musique, ne peut restituer ce que c’était d’être et de vivre dans ce coin du temps et de l’espace. Gouter la conquête. Quoi que ça ait pu vouloir dire, ceux qui ont vécu ce triomphe de l'intérieur possèdent le même discours sur le sujet. Il y avait de la folie dans tous les sens, à toute heure. On pouvait allumer des étincelles partout. Il y avait ce sentiment extraordinaire que quoi que nous fassions, c’était juste que nous étions en train de gagner. Et ça je crois, c’était la force qui poussait les joueurs et les gens de la ville. Cette sensation de victoire inévitable sur les forces du préjugé et de la conformité. Pas au sens hockey du mot victoire, on en avait pas besoin. Notre énergie déborderai par-dessus tout. Nous avions un élan formidable. Nous surfions sur la crête d’une vague très haute, et très belle. Alors maintenant, moins d'un an après, vous pouvez aller au sommet de ce vieil amphithéâtre escarpé de Winnipeg, regarder vers les estrades, et si vous avez le regard qu’il faut, vous pouvez voir la ligne de partage des groupies ameutées et des cauteleux jaloux, l’endroit où la vague a fini par déferler, et opérer son reflux.


Jets 8.0 !

Tout cela pour dire, non les Jets ne constituent pas l'équipe championne de la saison 6, en cette huitième saison, et ça les vrais fans le savent. Mais ils en ont rien à faire, de fait, la plupart n'ont même pas de numéro d'assurance social. Bref, les gens de Winnipeg savent que cette fabuleuse saison de championnat était spéciale. Ce qu'ils veulent dorénavant, c'est regarder une équipe qui donne un bon show, surtout physiquement. Le fait que la formation soit négligée représente une grande fierté aussi.

On risque donc de retrouver le même noyau que la saison passée, avec Kyle Beach, Jacob Josefson et Dion Phaneuf en tête d'affiche. Concernant Dion Phaneuf, certains experts disent qu'il pourrait bien être le défenseur le plus prolifique de tous les cyber-temps. Écoutez, il produit à la tonne saison après saison, frappe comme un enragé, il a deux trophée Norris à son arc et une coupe Stanley. Qui dit mieux ?  

Anyway, le DG des Jets de Winnipeg, Charlie Phaneuf, a déclaré cette semaine qu'il croyait avoir les outils nécessaires afin de se battre et d'accéder aux séries d'après saison. Et vous le savez, une fois rendu-là, toute se peut. Pour tout dire, il faut avouer que l'individu en question aura connu un off-season correct, de base, sans plus, ni de oh, ni de ah. Par contre, Charlie Phaneuf a tout de même réussi à mettre la main sur Joni Pitkanen et Scott Hartnell, deux outils de tailles, ça va de soi. Il aurait bien voulu amener Daniel Carcillo et Mike Komisarek dans le sillon, mais certains DG ont réussi à donner un plus gros montant. Vilain-vilain.

Mais yo, la cerise sur le sundae risque de plaire aux aborigènes de Winnipeg, car tout porte à croire que Joel Rechlicz et Théo Peckham feront du « teabagging » à la porte du grand club. Oui, il serait fort possible de voir ces deux hockeyeurs avec les Jets. Prototypes personnel de Dieu, mutants à l’énergie dense jamais conçus pour la production en série. Ces deux pur-sangs représentent les derniers d’une espèce : trop bizarres pour jouer dans le pro, selon certaines conformités d'usage, mais assurément trop rares pour mourir dans le farm, selon la mentalité des Jets. La certitude, c'est que ces deux grosses pustules sanguinolentes possèdent 55 de DI au grand total, à eux deux. Or, voilà de quoi réjouir les adulateurs. L'autre avantage : chaque fois que Peckham choppera une inconduite de partie, la situation fera en sorte que Dion Phaneuf et Jack Johnson seront automatiquement double-shifté par le coach. Du gros stock.
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MessageSujet: Re: Winnipeg SUN.com    Winnipeg SUN.com  - Page 8 Icon_minitimeVen 16 Aoû - 10:49

Winnipeg SUN.com  - Page 8 WinnipegSUN2013_zps650af0c0


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Eh oui, c'est ce moment-là. Le moment où l'on vous parle des meilleurs éléments des Jets de Winnipeg. Certains comprennent, d'autres se plaisent à détester, mais un jour ou l'autre, vous y serez confronter. Au premier regard, les Jets peuvent sembler inoffensif, mais en réalité, c'est tout le contraire. Oui, les Jets ont raté les séries la saison dernière, mais de très peu, et l'équation « blessures plus indiscipline » n'aura pas aidé non plus. Charlie Phaneuf a déclaré qu'il tentera de tirer le maximum de jus encore une fois cette saison, qu'il croit fermement avoir un club assez bon pour déranger en masse et grouiller la compétition à souhait. Ça vaut ce que ça vaut, mais, par expérience, il faudrait être absurde d’en demeurer insouciant.  

Bref, si certains médias n'en n'ont que pour les buts saillants et les arrêts époustouflants dignes des jeux de la semaine, le Winnipeg SUN, lui, veut rendre hommage aux plus grands guerriers de la RSHL. Parce qu'on s'entend, si ce sont les pointeurs les plus fulgurants et les gardiens les plus flamboyants qui jouissent de la plus grande notoriété, d'ordinaire, il y a aussi des soldats qui travaillent dans l'ombre et qui ne retiennent pas assez souvent l'attention qu’ils méritent. C'est vrai, pourquoi tant de succès à Winnipeg, malgré les préjugés ? Il doit bien y avoir une raison.

En gros, l'assemblage des Jets est composé de soldats moitié-hommes, moitié-frigidaires, auxquels seule une tape dans le dos ou un encouragement leur sont offerts en guise de paye. Que des jambons, pour certains, mais pour l'amateur d'ultra-violence, ce fut une excellente recette, elle qui a conduit à la coupe Stanley. Oh, vous le savez, mais on aime bien le rappeler à outrance, question d'enfoncer encore plus le dardage dans le jockstrap.

Plus souvent qu'autrement, donc, leur déjeuner (ou leur souper) est composé d'un bon lancer « plein-fouet » dans le buffet : assez pour en faire un bleu-mauve hebdomadaire. Règle générale, ces individus en question n’occasionnent pas nécessairement la centralisation des groupies ameutées, et des fanatiques en folie, mais ce sont ces piliers de la protection de gardiens qui bloquent une tonne d'assauts et d’invasions de l’ennemi.

Pour tout dire, ces sous-officiers abandonnent carrément toutes les parties de leur corps meurtri lors des matchs – ils ne le donnent pas pour la science, mais bel et bien au profit de leur emblème. En voici donc quelques-uns. Il n'y a pas que ceux-là, certes, mais on vous présente cette semaine la première batch.


Kyle Beach et Jacob Josefson

Ces deux jeunes hockeyeurs sont bel et bien dans une classe à part. Si jeunes, si dynamiques et si bons. Il faut en venir à une évidence même : si, si, si leurs pères n'avaient pas fourni d'aussi bonnes semences, pas certains que leurs mères auraient enfanté des pur-sang autant bourrés de skills. Ajoutez-y une main d'applaudissement discrète, mais bien sentie ; le genre qu'on peut entendre au billard ou au mini-putt.

Kyle Beach fut acquis à gros prix, arraché des mains de New York, alors que les Jets avaient sacrifié mer et monde afin d'obtenir ses services. Il faut croire qu'on avait vu juste dans son cas, car Beach a largement contribué lors de cette fameuse conquête de la coupe Stanley. Pendant ce temps, à New York, on peut entendre les criquets, l'attente fait flèche de tout Sherwood en bois et on se demande encore ce qu'il peut bien y manquer afin d'aspirer aux grands honneurs? Oui, il est vrai que l'avenir est rose là-bas, que la reconstruction comporte des futurs méga-stars. Cependant, on va se le dire, les Rangers constituaient une puissance à un certain point, sauf qu'ils auront manqué le bateau. Espérons que la prochaine embarcation sera la bonne. Êtes-vous prêts à ramer, moussaillons ?  

Jacob Josefson, lui, n'est pas en reste. Dans les faits, Josefson et Kyle Beach forment probablement le duo le plus efficace de la ligue. On s'en rappellera, Josefson fut amené dans ce deal qui avait envoyé Calvin Pickard à San Jose. Où est Pickard présentement ? À quoi ressemble-t-il ? Que mange-t-il en hiver ? On va vous le dire to-the-go, il croule dans le club école depuis cet échange, incapable de faire sa place comme gardien numéro un. Pickard semble voué à être étouffé, lui qui est littéralement embourbé dans ce marché où la masse salariale prédomine et où les aspirations semblent plus grandes que nature. Pas toujours facile, en effet. Josefson, lui, a touché la coupe Stanley, puis il ne dérougit pas depuis. Ce jeune homme prend les choses au sérieux, il s'entraîne durement et ses coéquipiers embarquent dans son sillon. C'est un meneur tranquille, déterminé à faire du « teabagging » sur la coupe pour une deuxième fois.


Dion Phaneuf, Jack Johnson et Mark Fistric

Un « big three » ? Non, mais trois gros défenseurs, ça oui. Menés par Phaneuf, Johnson et Fistric font partie de cette classe de défenseurs qui est sous-estimée avec passion. Un peu comme le petit castor : une fois qu'il est lancé, rien ne peut l'arrêter. En tout cas, Phaneuf, lui, n'a plus besoin de publicité, car les experts le savent, ce qu'il a accomplis avec le club des Jets, depuis son arrivée, est carrément digne du cyber-Panthéon de la RSHL. Mais ne vous méprenez point, il est encore sur la garantie et très loin de la retraite. Bref, appelez-le Capitaine, Bawss ou Lieutenant, Phaneuf est le chef de la meute et tant et aussi longtemps qu'il sera à son poste, les gens de Winnipeg pourront espérer de grandes choses. C'est comme ça ; ça l'a toujours été et le sera toujours. Quand Phaneuf va, tout va.

Pour Jack Johnson, il est vrai qu'il n'a pas réussi à faire oublier le départ de Pitkanen, après la conquête, mais ce ne fut pas un manque d'effort dans son cas, plutôt un manque d'expérience. Jouer pour les Jets peut représenter un grand défi pour un grand gaillard comme lui, or, à vouloir trop en faire parfois, on y perd au change. Simultanément, avec une saison de plus sous les épaulettes et son contrat qui sera à renégocier à la fin de la prochaine campagne, les experts ont bon espoir de voir JJ connaitre sa meilleure moisson en carrière. Et « guess what » ? Pitkanen est de retour avec l'équipe, alors, tout baigne.  

Vous savez, une fois, un gars a voulu rentrer dans Mark Fistric, celui-ci ne s'est pas tassé et le pauvre type a frappé un mur, forcément. Mis-à-part cette blague bon marché pour vous mettre en situation, il faut avouer que Fistric passe souvent sous le radar. Toutefois, ceux qui doivent l'affronter, eh bien, disons tout simplement que ces pauvres victimes savent exactement qui il est. Le propriétaire du buffet vietnamien qui arpente le coin de la rue ou Fistric habite sait, lui aussi, très bien qui il est : hostie qu'y mange le gros ! Fistric est un colosse qui se donne corps et âme, qui frappe sans lendemain. Bref, si vous avez un parie à faire, misez sur ce Fistric, car vous ne serez jamais déçus. Imaginez, malgré son très bon rendement, certains avancent qu'il n'a pas encore connu sa meilleure saison en carrière, qu'elle serait à venir. Rien que d'y penser, ça fait frémir.  
 

Cody Almond et Wayne Simmonds


Voici deux chiens fous qui devront en donner beaucoup. Almond, lui, avait connu des séries du tonnerre lors de la conquête, mais la saison dernière avait été ordinaire. Pas médiocre, non, mais on s'attend à plus de ce joueur. Cody Almond est reconnu, et ce à travers la ligue, pour avoir la mèche courte. Son indiscipline nous rappelle souvent un schizophrène en vadrouille qui aurait trop abusé du combo « Sudafed-O'keefe ». En fait, c'est catégorique, Cody Almond ne possède tout simplement pas de mèche. En achètera-t-il une sur eBay ? N'empêche, les gens de Winnipeg sont toujours prêts à lui pardonner n'importe quelle singerie, normal, avec son baby-face, mais une tonne de points sur la feuille de pointage, au lieu de sur les jolies gueules des adversaires, serait grandement appréciée en cette huitième saison.

Wayne Simmonds a toujours été protégé par le passé, son incapacité à produire fut défendu logiquement par son jeu sans faille en défensive et par son quota de mises en échec élevé. Il a évolué comme « secondary scoring » plus souvent qu'autrement depuis son arrivée avec les Jets. Néanmoins, c'est fini ce temps-là, car Simmonds jouera en compagnie de Beach et Josefson toute la saison durant et on s'attend donc à une bonne production de sa part. Son contrat sera lui aussi à renégocier après cette saison, or, voilà un élément qui pourrait jouer en faveur de l'équipe.
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MessageSujet: Re: Winnipeg SUN.com    Winnipeg SUN.com  - Page 8 Icon_minitimeVen 16 Aoû - 10:53

Belle job comme d'habitude Charlie
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MessageSujet: Re: Winnipeg SUN.com    Winnipeg SUN.com  - Page 8 Icon_minitimeVen 18 Oct - 2:20

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D'un bord, il y les fans inconditionnels des Jets de Winnipeg, qui, année après année, prédisent le retour imminent de la cyber-Coupe Stanley sur l’Esplanade Riel, cet étonnant pont piétonnier – rien de mieux pour aller déguster une bière tablette à Saint-Boniface, le quartier branché de Winnipeg.

De l'autre, il y a les « haters », qui, se gardent une petite gêne et qui, dans certains cas, se demandent sérieusement si les Jets peuvent se tailler une place dans les Séries Minatoires.

Spécialement ceux qui décrivent le team ainsi : « Winnipeg ? Sti d’club de marde… »

Puis la ville : « Winnipeg ? Sti d’ville de marde… »

Mais la vérité : « Leur bouche ? Sti d’haleine de marde ! »

Notre bon Jean-Maurice, lui, se situe quelque part dans le milieu. Il n’est pas très à jeun souvent, certes, mais lorsque sa Suzanne tente de le ramener à l’ordre, lui mentionnant que des équipes comme Vancouver et Edmonton poussent fermement dans le cul des Jets, il lui fourre systématiquement une bonne tape sur la bouche, lui répétant ainsi : «Qu’est-ce tu connais là-dedans, toé ? Ma maudite folle, han ? »

Oui, l'heure est aux prédictions et, parole de scout, les Foutus Avions, qui ont étonné le bon peuple il y a de cela deux saisons, seront à nouveau des séries.

Voulez-vous gager ?

Au cours des dernières années, on a souvent dit que cette bande de fous formait une bonne p'tite équipe.

Aujourd'hui, on peut parler d'une bonne équipe tout court, mais certainement pas d'une équipe comparable aux Rangers de NY ou aux Flames de Calgary.

« Respirez par le nez », comme disent les Chinois. L'effet « O’keefe salue les vrais » et amphétamines, à ne pas en douter, continue de faire son œuvre.

L'équipe continue de grandir et de grossir et, à court ou moyen terme, elle pourra jouer dans la cour des grands à nouveau.

Les Jets ont ce qu'il faut pour faire les séries, mais il est encore à deux ou trois joueurs près de gagner la coupe à nouveau.

Encore là, vous n'êtes pas obligés de me croire.

Cela dit, les grandes questions sont les suivantes:

- Est-ce que Dion Phaneuf sera à la hauteur ?

- Est-ce que Miikka Kiprusoff, vieillissant et fragile, tiendra le coup pendant toute la saison ?

- Est-ce que Wayne Simmonds, qui a piqué du nez, les saisons passées, restera le joueur qu'il est présentement ?

- Est-ce que le message de Bruce Boudreau passera mieux qu’en fin de saison dernière ?

Le sort de l'équipe est intimement lié à ces questions et à beaucoup d'autres, bien sûr.

De l'espoir.

Mais s'il y a de grandes questions, il y a aussi des réponses, qui se précisent de plus en plus.

Le club hostile a désormais de la discipline dans son jeu, il forme l'une des équipes les plus lourdes du circuit, Kyle Beach est une super-vedette en devenir, Jacob Josefson est mûr pour s'offrir une séquence de buts en vrac et Dion Phaneuf, gagnant du Norris l'an passé, appartient à l'élite. Et je ne parle même pas du fougueux Coldy Almond, l'homme qui mange les bandes pour déjeuner.

Chez les Jets, il y a plein de joueurs enragés de la tirelire qui sont encore en attente de briser quelque chose de beau. On pense à Spencer Machacek et à Mark Fistric, entre autres. C'est là un facteur important qu'il ne faut pas négliger.

Il n'y a rien de plus imprévisible qu'un groupe de fous braques ; entourés de vétérans tels Ryane Clowe, Dustin Brown et de Joni Pitkanen, par exemple. Ce mélange maison, s'il continue de faire effet, tel ce bon vieux shooter appelé « Morsure de serpent » – composé de Jack Daniels, de Vodka, de Rhum et de sauce Tabasco –, pourraient avoir un impact significatif. Faudra voir. Cul sec ? Défécation enflammée...

Bref, les fans de l'équipe ont maintenant de bonnes raisons d'espérer de meilleurs jours.

La Coupe n'est pas encore sur le point de débarquer à Winnipeg, mais l'équipe, après avoir emprunté plusieurs détours qui l'ont mené dans des culs de sac pendant trop longtemps, est sur la bonne voie.

N'achetez pas encore vos chaises longues, mais, mine de rien, vous pouvez commencer à magasiner!
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MessageSujet: Re: Winnipeg SUN.com    Winnipeg SUN.com  - Page 8 Icon_minitimeMar 31 Déc - 15:18

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Winnipeg-aborigène || Une démoulure de "3x3 inc" [montage néo-cheap inclus]

Eh oui, la RSHL n’est plus. Eh non, ça ne sert à rien d’aller allumer un lampion à la paroisse du coin, ni d’aider une personne âgé à traverser le boulevard, ou encore de passer au suivant. Tu peux crisser ton trombone géant aux poubelles, t’obtiendra jamais une maison. Pis tant qu’à y être, Fuck l’hostie de karma, c’est juste de la bullshit pour les « joueux » de loteries. Les dés sont jetés et Simon Lafleur, après tant de bonnes années à nous en donner au maximum pour notre cyber-dollar-loisir, a décidé qu’il était temps de mettre fin à cette belle aventure. Ce n’est pas une décision qu’il aura prise à la légère, mais plusieurs auront été déçus de la tournure, eux qui croyaient en la vie éternelle de la RSHL. Mais la RSHL n’est pas Dieu, encore moins un Elf.

Malgré le kick-down de type « c’est une mauvaise journée pour arrêter de se défoncer au crack », il faut avouer une chose, que notre bon Président aura été l’un des plus vaillants meneurs de ligue simulée que notre monde (à nous) aura connu. Un type passionné et acharné ; presqu’aussi assidue que les juifs aux dépens des palestiniens. C’est d’ailleurs pour cette raison logique qu’il aura décidé de fermer les portes de la RSHL. Se voyant perdre de la discipline dans son baluchon et n’acceptant point les demi-mesures dans la gérance de sa ligue, versus le fait évident qu’un détachement de sa part s’opérait tranquillement, il aura donc résolu de tout arrêter. C’est triste, c’est sûr. Néanmoins, pour tout ce contenu grandiose, on lui doit le plus grand respect et des hommages en vrac sont de mises. Également, offrons-lui un « attaboy » bien senti et quelques bonnes tapes sportives sur les fesses. Merci Simon!

La RSHL n’est plus – certains GM fantômes l’apprendront bien dans quelques mois –, c’est donc la fin de plusieurs choses, à commencer par le Winnipeg SUN. Cette couverture trépidante et débridée en aura dit des choses insensées, voire mêmes déplacées plus souvent qu’autrement. Jean-Maurice en aura bu de l’O’Keefe tablette ; on dit qu’il aurait même payé la nouvelle robe en paillette de Suzanne avec ses vides. Toutefois, sont but fut toujours le même, soit d’éviter la platitude et tenter de couvrir totalement l’évènement. On peut donc dire mission accomplie, car mettons que le scrapbooking cybernétique des Jets de Winnipeg est fucktopement bien garni.

Avec ce coït interrompu, on ne pourra pas non plus savoir si les Jets auraient été dans la capacité de ramener une troisième coupe FHL en quatre saisons. Bref, au chiotte la dynastie. Anyway, il faut avouer que d’en empocher deux en trois saisons, ce n’est crissement pas rien. Son style basé sur l’intensité, la défensive et l’expérience aura fini par faire taire les plus ardents dénigreurs.

Voici quelques faits saillants de cette deuxième coupe :

En première ronde, contre les Flames, et ce malgré la perte de Mark Fistric (remplacé par Théo Pechkam), les Jets avaient dominé le premier duel de la série au niveau des lancers ; dans un gain plutôt facile. Les Flames avaient ensuite remporté le deuxième duel par la peau du prépuce d'un Zio : deuxième Overtime ! Après cet épisode, la série aura pris une tournure de guerre de tranchées. Des scores à bas pointage, des gardiens fumant et des filles qui ramassent la glace en jupettes ; aussi courte que chez Paré. La puissante machine montée par François Malo martèlera sans retenu et prendra pourtant l’avance dans la série : 3 à 1. Mais ce fut le retour de Fistric, puis le filet fut confié à Martin Brodeur, qui alla gagner ce match et donné des ailes aux Jets : un septième match fut nécessaire. Le DG Malo avait même déclaré : « Ah bin sacrement!? Si c'est pour être mon dernier match FHL demain, on va habiller Hot Rod! » Subséquemment, les Jets allaient triompher dans ce septième match. Les journaux titraient : « Morpion au cul, les Foutus Jets, les hosties de sale du Christ de saint-tabarnak: name-it! » Une touche de Theo Peckham par ci, un Martin Brodeur bien placé et hop, l'histoire se répétait, le flair de Phaneuf, voire son système, l'emporta encore une fois. Les Avions passaient à la ronde suivante. Mais oh!?, quelle série de combattants entre Calgary et Winnipeg ce fut.

En deuxième ronde, le Winnipeg allait briser un autre rêve, celui de Martin Brunette, dont l’espoir de remporter une coupe FHL avec ses Mateaux Bleus de Columbus était bien réel. Le premier match fut décroché par les Blue Jackets. Une mauvaise nouvelle allait tomber sur la tête des Jets, blessé lors du septième match versus les Flames, Cody Almond allait rater encore au moins 4 matchs. Dans le deuxième match, Jacob Josefson et Dion Phaneuf joueront gros, puis les Jets égalisaient ainsi la série 1 à 1. La série alla ensuite être âprement disputée, puis un autre septième match sera nécessaire. Envers et contre tous, c’est encore une fois le vieux Martin Brodeur qui fut d’office pour ce match ô combien important ; match qu’il remportera de brillante façon d’ailleurs. Les Jets s’en allaient ainsi en demi-finale contre les Huileux, l’heure en était alors à la danse de la joie : **saute en l'air, mains en l’air, gauche-droite, et pieds droite-gauche inversement des mains.

La question allait être la suivante : Quel duel aurions-nous là ? Deux équipes qui avaient croisé le « flex » lors de la finale, il y a de cela deux saisons déjà. Mais, il y avait fort à parier que les Oilers s'en souvenaient. Lors de la dite finale en question, leur DG Fawzyne « l'Évasif » Rehab s'était rué en catastrophe chez lui, se loggant sur le site avec son cellulaire, tout en conduisant, afin d'avertir qu'il serait un peu en retard pour la classique simulation live de la finale RSHL. Malgré cette manœuvre non-sécuritaire, soit de texter au volant en s'amenant chez lui du travail, le résultat avait été décevant pour le DG d'Edmonton. Le contrecoup avait été le suivant : une sortie expéditive des Huileux et la coupe s'en alla quasi d'une seule main chez Winnipeg.

Cette fois, tout avait changé. Les Jets, biens qu'ils s’étaient encore une fois montrés tels des morpions au trou du cul chez la compétition, avaient perdu un brin de lustre dans la catégorie « ça-va-ça-vient ». Bref, ils semblaient moins physiques que lors de la fameuse conquête. Ils possédaient plus d'expérience cependant. Hartnell, Kiprusoff, entre autres. D'ailleurs, c'est ce Kiprusoff qui était chez les Oilers lors de l'échec en finale. Drôle de parcours c’était, vous en conviendrez.

Les Oilers avaient dorénavant du punch en attaque, presqu'autant qu'un shooter qui se présente dans une école primaire avec un AK47. Pouvaient-ils venger les leurs? Il n’y avait aucun doute là-dessus chez les experts. Toutefois, il faut avouer que de parier sa chemise contre les Jets, ce n'était pas un pari très sûr. Tsé, aussi bien miser sa dernière chemise et son vieux slip sec alors qu'on est en vacances dans un camp de nudiste, puisqu'on est assuré de se retrouver aussi vêtu qu'un primate de zoo. Au finish, malgré le blabla en règle, les Jets allaient gagner la série en quatre matchs. Mikka Kiprusoff allait être incroyable, Martin Brodeur allait garder les filets encore une fois, étant très solide itou.

Winnipeg s’en allait donc en finale les amis, contre Sidney Crosby, John Tavares et Cie, voire JP Mercier et ses Boltz de Tampa Bay. On connait la suite, les Jets l’ont emporté en cinq rencontres, le tout avec encore une fois de grandes performances des cerbères : blanchissant d’ailleurs la puissante machine de Tampa lors des deux premiers duels. Le système était inexorable rendu à ce point-là ; les joueurs semblaient avoir aussi faim que des zombies devant une carcasse humaine. Les Jets ont alors soulevé une deuxième coupe en trois saisons. Du gros stock!
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