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Winnipeg le trou || Une démoulure de "3 X 3 inc".  

[Avertissement] : Ce roman psychotique fut chié sous des conditions extrêmes ; sans renouvèlement de ma prescription de Paxil, ni de restant de cafard à fumer, ni de vieux fond d'O'Keefe tablette, rien. Puis, en plus, il fut estampé d'à partir mon minuscule hostie d'Ipod, tout cela bien entassé dans le métro. Yay ! Donc, veuillez prendre chaque faute "d'esti-d'ortho-graphe", que vous y trouverez, comme une chaleureuse mise-en-échec effectuée le long de la rampe.

P.S. : Oui le montage photo ci-dessus fut réalisé avec Paint, alors inutile de me broyer les couilles : "eule sais bin" que le niveau de "Néo-cheap-ness" est encore plus élevé qu'à l'habitude.      

À Nasty-peg, depuis des années, c'est la platitude même, l'angoisse total. On regarde la nature, on snif de la colle, on regarde rapetisser les vieux, bref, on s'amuse comme on peut. On ne va pas à l'école, de toute façon, y'en a pas d'jobs : aussi bien attendre que le mal change de ville. Soporiphique tu dis ? Oh boy, même les oiseaux et les restants de bestioles en tout genre s'ennuient à mourir, là-bas. En effet, un phénomène étrange fut observé dans ces parages digne des plus ignobles sauvageries : il n'est pas rare de constater qu'un orignal s'est lui-même jeté devant un automobiliste, ou de voir qu'un oiseau s'est juste laissé tomber au sol. Bref, même les animaux ont des pensées suicidaires là-bas. Les ratons et les mouffettes? Eh bien, ce n'est pas dans vos ordures d'aliments qu'ils fouillent, non, ils ratissent les vieux pots de peintures laissés en bordure des ruelles avec l'espoir de se payer un dernier "drôle de trip". Ma parole, eh oui.

Par contre, depuis que Charlie Phaneuf est en poste à la barre des Jets, la ville semble se porter de plus en plus à ravir. Oui, l'équipe sur la glace est hostile, violente, et les fans en raffolent. Le morale est de mieux en mieux selon le maire de Winnipeg. Quand les Jets foulent la patinoire, vous êtes certains d'assister à une charmante séance d'ultra-violence ; c'est toujours une belle petite fête qu'y se donne lors des parties, et croyez-moi, oh que oui que ça donne !

Qu'à cette nostalgie ne tienne, pour les pré-saisons, comme le GM l'a déjà mentionné, les Jets feront plaisir aux fans. "En effet Gilles", le bandement pour ce genre de spectacle endiablé, du gros martelage d'assaut comme il ne s'en est jamais fait, sera donc poussé à un paroxysme jamais atteint auparavant, voire à une puissance où même Peter North lui-même n'aura jamais atteint dans la couchette. 

Alors, il sera inutile de rouler sous les coups les amis, car l'offre sera crissement plus élevée que la demande, pareille comme une vielle "prost-taille-taille" sèche de Homa : z'en voulez pas, mais juste l'avoir dans votre champ de vision est de trop, car vous pouvez presque y gouter tellement elle détonne, la crisse... En somme voici le portrait, les vétérans de la formation partante (Clowe, Cole, Helm) feront place aux multiples barbares (en provenance du club farm) tels : Mitch Fritz, John Scott, George Parros, Staubitz, entre autres, eux qui s'ajouteront aux Stortini, Artyukhin et Komisarek. Bref, une simonac de belle brochette ; une brochette tout sauf homo, ça va de soi. En bout de ligne, nous espérons faire le plus de dommages collatéraux possibles. Quelques bons combats, et en prime, mais là, ce serait encore mieux qu'esperer, un blessé grave. En terminant, le boss des Jets avait un petit truc à dire aux autres équipes : "Bonne chance les fillettes !"                 

Une charmante séance d'ultra-violence...

22 mises en échec et 6 mineurs, aucune majeur....

C'était probablement la rencontre YUM-YUM et billet gratuit pour les mineurs...lol

Côté hockey premier but de Smith-Pelly...

Nah! Le calme avant la tempête sûrement...

Ya pas de violence dans FHL... jte l'ai dit.

Winnipeg le trou || Une démoulure de "3 X 3 inc".

Eh oui, les Jets seront encore une fois cette saison : les négligés dans l'Est. Mais pourquoi cet acharnement envers les "michants" Jets, eux qui ont pourtant connu une saison de feu l'an dernier, terminant au 7e rang de cette puissante association que représente l'Est, justement. En léger rappel : un début de saison chaotique aura permis à Phaneuf d'aller chercher des éléments important lors de cette période, et Dieu sait quel volte-face ce fut ensuite. Pour tout dire, l'équipe composée par Charlie Phaneuf aurait probablement terminé beaucoup plus haute dans le classement, surtout si elle avait eu son transfert dans ladite association de misère que représentait, l'an dernier du moins, celle de l'Ouest. Cependant, il faut avouer que de ce côté de la ligue, les choses ont bien changées, car des équipes telles Vancouver, Edmonton, et San José, entre autres, ont fait beaucoup de gestes durant l'entre-saison afin de pouvoir atteindre les séries lors de la saison 6. Quoi ? Ces équipes n'avaient pas fait les séries l'an dernier ? Eh non Jean-Maurice, des pétards mouillés qu'on vous dit. Donc, selon ces "Ti-Joe connaissants", ceux qui leurs avaient prédit mer et monde, les Jets finiraient dernier de classe ?

Non, avec l'expérience, les jeunes qui sont en puissance et l'intensité dans le prélat, à Winnipeg, on pense tout le contraire ; on est donc convaincu que la formation pourra terminer en milieu de peloton, voir même : premier de la division maudite ! Phaneuf veut faire le plus de dommage possible, voici ce qu'il avait à dire : "Les gens ici à Winnipeg connaissent mon plan, nous irons le plus loin possible avec une équipe qui a énormément de chien et de rudesse a déployer. Ensuite, la saison suivante, beaucoup de vétérans partiront, les jeunes prendront leur place, puis nous aurons probablement la chance de repêcher quelque chose de bon, le temps que la levure monte."

voila les raison des ti-joe connaissant: aucun joueur qui a 79 de scoring, aucun attquant qui sait faire une passe c'est ben beau l'intensité mais quand tu sais pas jouer au hockey tu vas etre intense en tirant a coté du but!!! a winnipeg on se demande pkoi chicago a gagner la coupe, a chicago on se demande encore pkoi winnipeg a gagner plus que 20 game!!!

Winnipeg le trou || Une démoulure de "3 X 3 inc".

Eh oui, les Jets seront encore une fois cette saison : les négligés dans l'Est. Mais pourquoi cet acharnement envers les "michants" Jets, eux qui ont pourtant connu une saison de feu l'an dernier, terminant au 7e rang de cette puissante association que représente l'Est, justement. En léger rappel : un début de saison chaotique aura permis à Phaneuf d'aller chercher des éléments important lors de cette période, et Dieu sait quel volte-face ce fut ensuite. Pour tout dire, l'équipe composée par Charlie Phaneuf aurait probablement terminé beaucoup plus haute dans le classement, surtout si elle avait eu son transfert dans ladite association de misère que représentait, l'an dernier du moins, celle de l'Ouest. Cependant, il faut avouer que de ce côté de la ligue, les choses ont bien changées, car des équipes telles Vancouver, Edmonton, et San José, entre autres, ont fait beaucoup de gestes durant l'entre-saison afin de pouvoir atteindre les séries lors de la saison 6. Quoi ? Ces équipes n'avaient pas fait les séries l'an dernier ? Eh non Jean-Maurice, des pétards mouillés qu'on vous dit. Donc, selon ces "Ti-Joe connaissants", ceux qui leurs avaient prédit mer et monde, les Jets finiraient dernier de classe ?

Non, avec l'expérience, les jeunes qui sont en puissance et l'intensité dans le prélat, à Winnipeg, on pense tout le contraire ; on est donc convaincu que la formation pourra terminer en milieu de peloton, voir même : premier de la division maudite ! Phaneuf veut faire le plus de dommage possible, voici ce qu'il avait à dire : "Les gens ici à Winnipeg connaissent mon plan, nous irons le plus loin possible avec une équipe qui a énormément de chien et de rudesse a déployer. Ensuite, la saison suivante, beaucoup de vétérans partiront, les jeunes prendront leur place, puis nous aurons probablement la chance de repêcher quelque chose de bon, le temps que la levure monte."

steve(Chicago) a écrit:

voila les raison des ti-joe connaissant: aucun joueur qui a 79 de scoring, aucun attquant qui sait faire une passe c'est ben beau l'intensité mais quand tu sais pas jouer au hockey tu vas etre intense en tirant a coté du but!!! a winnipeg on se demande pkoi chicago a gagner la coupe, a chicago on se demande encore pkoi winnipeg a gagner plus que 20 game!!!

Les Jets ont marqué 260 buts la saison dernière, les Black-Cox en ont marqué 222. Avec la saison qui est en mode "saison", justement, nous croyons que Chicago ne fera pas les séries. Avec l'ajout de Bobby Ryan à Vancouver et de Mikka Kiprusof à Edmonton, en autres, vous aurez tous les misères du monde à terminer au huitième rang, par la peau des dents, comme l'an dernier. Vous serez tellement en difficulté cette année, que la compagnie "Toms" vous mettra sur sa liste de "coin de pays à aller porter un container de shoes", à notre humble avis. Hi hi.

Du côté des Jets, si l'équipe ne déploie pas autant d'énergie que souhaité, nous entamerons la phase trois du projet en cours, no problemo.

c,est drole moi je trouve que j'aurai pas trop de misere a faire les series surtout pas dans l'ouest dans la division qui s'est le plus affaibli avec les mais bon on voit encore que la jalousie est encore dans votre memoire!!!

For the people, et pour le CF, forcément !

Charlie09 a écrit:

UN ENVOL RÉUSSI POUR LES JETS !

Winnipeg : 2

Anaheim : 1

Et voilà, c'est un départ, les Jets viennent de gagner leur première bataille de tranchées. Selon nous, des matchs à bas pointages sont à prévoir lors de pas mal tous les duels impliquants les Jets. Contre les Ducks, les vôtres ont été dominés légèrement, mais en bout de ligne, le gardien Nicklas Backstrom, vétéran signé durant la saison morte, a fait du bon boulot. Backstrom aura donc effectué 31 arrêts, en route vers son premier gain de la saison. Le but gagnant fut marqué en deuxième période alors que Brian Boyle a fait dévier un lancer de Ryan Clowe, tout cela après que le duo Boyle-Clowe, justement, ait bien travaillé en désavantage numérique.


NEXT :

Winnipeg

Vancouver

Lors du prochain macth, les Jets s'en iront jouer contre les Canucks de Vancouver, eux qui font maintenant figure d'équipe à prendre au sérieux, surtout avec le récent ajout de Bobby Ryan à leur belle charpente. Le GM de Vancouver, Pierre Lescarbeau, a laissé filtrer des informations par voie des réseaux sociaux cet après-midi, concernant sa formation de demain. Il a alors affirmé que certains joueurs seraient ménagés, évoquant le gardien Simeon Varlamov, lui qui laisserait, apparemment, sa dite place au gardien auxilière. Phaneuf a drôlement réagi quand on lui a posé une question sur le sujet : " Vous rigolez, n'est-ce pas? Les gens de Vancouver peuvent peut-être réussir à vous berner, vous, journalistes de tiers catégorie que vous êtes, mais pas moi. Marquez mes mots les mauvais, c'est bel et bien Varlamov qui sera d'office demain! "



AILLEURS :


Dallas : 7

Columbus : 3

Oh boy, dure entrée en scène pour les Blue Jacket et leur nouveau Directeur Général, Martin Brunette. Bon, ce n'est qu'un match, la saison est jeune, alors l'espoir stimule toujours. De plus, on nous l'avait dit lors de l'embauche de Brunette, la patience sera un peu de mise, car une mini restructuration des fondations a eu lieu, dû à une masse salariale engorgée. Une chose est sûre, dans cette raclée, le gardien Robin Lehner en aura pris plein son matricule, accordant cinq buts sur 23 lancers. Ryan Miller étant parti, le jeune gardien pourra-t-il se developer assez rapidement afin de permettre à son équipe de faire les séries? Il a le potentiel pour réaliser cet exploit en tout cas, personne n'en doute. Dans ce massacre, les unités spéciales ont dévasté l'équipe de Columbus. Eh oui, les Stars de Dallas ont inscrit trois buts sur six avantages numériques, traversant le territoire ennemi aussi facilement qu'un lame de rasoir dans du beurre. Jason Spezza, entre autres, a commencé sa saison du bon "skate", lui qui a ramassé deux buts et une passe.


Edmonton : 5 OT

Detroit : 4

Eh bien, ça parle au diable, une surprise nous attendait lors de ce premier match de la saison, du côté des Oilers. Oui, tout le monde attendait Mikka Kipprusof devant leur cage, mais ce fut plutôt Ondrej Pavelec qui a été d'office. Mentionnons que Kipprusof a connu un camp d’entrainement horrible et qu'il est arrivé dans une forme de vieux mon'oncle fini au début dudit camp, selon les médias là-bas. M'enfin, sans être splendide, Pavelec fut suffisemment solide, stoppant 32 lancers, menant les siens vers une victoire et vers le chemin du cyber-bonheur en vrac. C'est le jeune Adam Henrique qui a cloué définitivement le débat, marquant en prolongation après une belle passe du défenseur Yannick Weber. D'ailleurs, ce Weber vient d'arriver avec les Oilers mais il fait sentir sa présence, et pas seulement à cause de son viel équipement sec, non, dans ce gain, il a inscrit deux buts et une passe, voire LA passe.

Gimmy-gimmy ma CF !!

Charlie09 a écrit:

Les Jets l'emportent sur les Nuckers :
à grands coups de robustesse dans le "je taime" !


RSHL 'n shit || Une démoulure de 3 x 3 inc

Vancouver : 3

Winnipeg : 4

On va se le dire, personne ne prend les Jets au sérieux, car tout le monde observe et analyse le talent offensif des Jets et se dit qu'il n'y a pas grand-chose pour veillez tard là-dedans. C'était comme ça l'an dernier, ça le sera encore une fois cette saison. Mais sachez, bande de Jean-Maurice, qu'il n'y a pas que ça qui rentre en ligne de compte à Winnipeg, non, il y a aussi la hargne sans borne, mais aussi, l'aspect défensif. Oui, leur brigade fut construite pour durer, et leur nouveau gardien, le vieux Nicklas Backstrom (28 arrêts), semble en bénéficier "gros temps" en ce moment. Aussi, avec Helm, Artyukhin et Brouwer (oui-oui, Brouwer) qui évoluent sur les deux premiers trios, cela pourrait rapidement devenir une souffrance pour les joueurs vedettes qui doivent affronter ces joueurs dynamiques et gagnants qu'ils sont. Vancouver l'aura donc appris à ses dépens hier soir, eux qui ont levé le pied en troisième période, pavant la voie à une remontée des Jets, eux qui ont tamponné trois buts sans riposte.

Dans ce match, donc, le jeune Devante Smith-Pelley sera venu hanter son ancienne équipe d'adoption, lui qui a marqué ses deux premiers filets de la jeune campagne. Le jeune et gros gaillard qu'est ce Smith-Pelley s'est d'ailleurs chargé du but égalisateur, tout cela sur des passes de Stralman et Helm, à 12:38 du dernier vingt. Toutefois, la cerise sur la coupe glacé, sur le sundae en bon français, que représente cette victoire, est arrivée quand ce gros saligaud qu'est Mike Komisarek marqua ce qui se trouva à être le « fuckin » but gagnant, à 12:58, soit seulement quelques secondes plus tard. Si ce n'est pas une drôle de fin de match, ça, appelez-moi Suzanne !


Next


Buffalo

Winnpeg

Un duel entre deux équipes de l'Est est toujours d'une importance capitale pour les Jets, et ce, même s'ils viennent du fin fond de l'Ouest Canadien barnache. C'est vrai, même si les Jets se battent contre les autres équipes de cette partie du Canada, dont les Canucks, les Flames et les Oilers, pour avoir la plus grande part d'un marché saturé, ils doivent surtout se battre contre les équipes de l'Est dans des matchs de quatre points : afin de monter au classement. Les Sabres ont présentement une victoire et une défaite, mais ils ont surtout des problèmes de buts alloués, soit huit en deux rencontres. Mettons que Jake Allen connait un lent départ, pour rester poli. Du côté des Jets, John Ramage et Erik Cole seront laissé sur la passerelle, eux qui soignent des blessures. Tout porte à croire que Kurt Russell jouera son deuxième match et que Cody Beach, lui, fera son entrée.

Ailleurs


Columbus : 5

Los Angeles : 2

Eh bien, après avoir s’être fait défoncer la veille, les Jackets sont revenus en force, et ça tombe bien, car ceux-ci jouaient contre leur ancien gardien vedette, Ryan Miller. Parlant de gardien de but, si sa tenue avait engendré des craintes lors du premier match, dans celui-ci, on peut dire que Robin Lehner aura bien paru, au minimum. Dans ce gain donc, Lehner aura stoppé 24 des 26 rondelles dirigées en sa direction, tandis que « super » Miller en stoppait seulement 25 sur 30. Offensivement, plusieurs joueurs ont récolté deux points, dont Matt Calvert, Max Pacioretty et Mark Pysyk, mais un nom se fait toujours attendre en termes de production offensive de luxe, et c’est bel et bien celui de Rik Nash.


Minnesota : 1

NY Rangers : 3

Oh boy, la saison risque d’être longue chez le Wild. Au fait, des gens ont soulevé un point intéressant cette semaine, dans les réseaux sociaux, oui, une question est revenue souvent : « Le Wild représente-elle la pire cyber-équipe jamais mise sur papier de l’histoire du FHL ? » Bah, on ne saurait pas aller jusque-là dès maintenant, mais une chose est sûre, peut-être verrons-nous des records de médiocrité être atteint en bout de ligne. Ouin, tout ça c’est bien beau, ils sont en reconstruction, mais combien de saisons croyez-vous que ça prendra avant que Minnesota redevienne simili-compétitif? Quatre, cinq, non, pas six saisons? Nous n’avons pas la réponse, chers partisans du Wild, mais certains croient que de l’eau potable sera disponible en Jordanie où dans le Malte bien avant que le Wild ne fasse les séries, c’est tout dire. Dans ce match, donc, contre les Rangers, disons qu’au-delà du pointage respectable, mentionnons aussi que les « Blue shirt » ont lancé 39 fois sur le pauvre Joacim Eriksson, or, une chance qu’il était en grande forme, sinon : bonsouère le massacre.

Excellent

Un grand merci a toi Charlie davoir massacrer quelque joueur des Habs avant mon match de demaib : p Toujours un plaisir de jouer contre une equipe qui viens de jouer contre les Jets ! Ils onnt passer au bat haha !

Winnipeg aborigène || Une démoulure de 3x3 inc.

Eh oui, avant la présente campagne, tous les pseudos-experts, dont le célèbre et très crédible Power Ranking de Chicago, avaient rangé les Jets dans les bas-fonds d'une cale aussi lointaine que l'oublie (pour une deuxième année de suite). Mais oh! Les Jets ont du chien qu'on vous disait (?), eh bien, les Jets semblent avoir encore plus de pugnacité en eux qu'en aurait un "Crystal Meth Tweaker" en vadrouille depuis deux jours.

À ce sujet, disons que le GM Charlie Phaneuf avait déjà entre les mains un très gros phallus, certes, mais aussi, une équipe très coriace. Néanmoins, là, on se sentira vraisemblablement comme dans un abattoir lorsque certaines équipes adverses s’égaieront contre les satanés Jets. Également, eh oui, la joie de vivre revient à Winnipeg, car il paraîtrait que le travail de Phaneuf (peu orthodox c'est évident), serait enfin de plus en plus reconnu. Oui, un PowerRanking en provenance du Minnesota, cette semaine, a placé vos Jets dans les hauteurs de ce dit ranking mes amis. Hein? Oui, vrai comme je vous l'dis! Dans les faits, chose simili-étonnante, cette formation n'a toujours pas mangé une volée digne de ce nom. Niet, nada, aucune raclée. On le sait, dans le merveilleux monde du FHL, on doit tous y passer : chaque GM mangera, tôt ou tard, une ou deux claques sur sa cyber-gueule, et ce, au moins une fois (ou plus) au cours d'une même saison. Cependant, à date, vraiment (!), à part une défaite de 6-3 contre « chez-pu-qui », les Jets sont dans le coup à chaque soir et c'est indubitablement satisfaisant. Concernant cette bonne figure des siens, Charlie Phaneuf, l’excentrique GM, avait des commentaires à émettre lors de sa rencontre avec les médias :

« Nous étions conscient du potentiel de l'équipe, mais nous voulions le voir pour le croire. Maintenant qu'on en est certains, on met le paquet ».

Toujours selon Phaneuf, un autre échange pourrait avoir lieu sous peu, car le jeune défenseur Tim Erixon serait disponible. Mais pour l'instant, mettons que deux gros morceaux (dans la douche pis toute) viennent d'être ajoutés au coffre des Jets. Oui, un beau gros marteau (Simmonds) puis un magnifique tournevis universel (Beach), tellement solide, que s'il ne fonctionne pas : bah, on peut toujours piocher avec. Blague de douchebag à part, disons avant tout que l'enragé Wayne Simmonds s'est amené en début de semaine, de la Caroline, contre Nick Palmieri et un premier choix au prochain « repêchage-lointain ». Palmieiri n'était pas un mauvais bougre, mais l'idée d'avoir un train comme Simmonds à sa place procurait une sorte d'explosion romantique dans la région pelvienne du GM des Jets. Ensuite, lesdits Jets ont donné presque tous leurs jeunes, lors d'un méga-trade amenant le jeune capable bœuf qu'est Kyle Beach. Ce Kyle Beach, donc, a d'ailleurs exprimé la joie de sa venue à Winnipeg, par voie des médias: « Ouf! Quelle semaine pour moi, toutes ces transactions annulées, ça m'a donné des maux de têtes et de ventre. J'avais vraiment envie de chier par moment. Vous ne me citerez pas là-dessus n'est-ce pas? (Le pauvre était en direct devant les caméras) Bref, je suis content d'être sorti de NY, la mentalité de perdant était en train de me rendre psychotiquement dangereux. »

Avec tout cela, les Jets sont sur une lancée merveilleuse. Eh oui, ces fatigants de Jets viennent de gagner 4 matchs d'affilés. Lors de ce dernier gain de 5-1, contre les Stars de Dallas, Nicklas Backstrom fut solide avec 34 arrêts. Ensuite, l'attaque, Darren Helm et Anton Stralman ont obtenu trois passes chacun. Simmonds et Beach? Un but chacun, forcément

Le BOOM s'en vient? Non, le soi-disant boom est là depuis le début de la saison qu'on vous dit. Eh oui, les Jets sont présentement au troisième rang dans cette épique association de l'Est, là où les équipes installées au tour du fatidique huitième rang seraient normalement positionnées dans les hauteurs de ce moribond classement de l'Ouest. Et là, plusieurs langues sales se disent que la chute de ces foutus Jets est prévue pour bientôt. C'est ce qu'on croyait avant la saison, on disait la même chose après dix matchs, vingt, puis après la perte de Darren Helm. Mais non, la féroce équipe de Winnipeg continue de se battre avec autant de fermeté qu'un russe lorsqu'il doit ouvrir une vieille bouteille de Vodka.


Cette fois, contre cette formation de Dallas, les Jets avaient décidé d'octroyer un départ au gardien de but Ray Emery, avec la fin que vous connaissez, soit une victoire qui amena vos Jets au troisième rang de l'Est. Bruce Boudreau avait d'ailleurs commenté la situation cette semaine : "On ne croyait pas que cette profondeur au poste de cerbère allait être un outil aussi important que ça, mais ce luxe est plaisant je dois dire." Bref, le pauvre enfant terrible n'avait eu qu'une seule chance de commencer une rencontre et il avait aussi fait beaucoup de suppléance. À vrai dire, Emery a démontré beaucoup de sérieux depuis qu'il est à Winnipeg, les coachs ont alors pensé qu'il était temps pour lui d'agir comme partant. Sans avoir été incroyable, Emery a insufflé beaucoup d'énergie à ses coéquipiers et tout porte à croire que l'individu en question pourrait obtenir un deuxième départ de suite.

Dans ce gain versus les Stars, c'est le jeune John Ramage qui a tamponné le but gagnant. Mentionnons aussi qu'Anton Volchenkov fut nommé en tant que première étoile, lui qui a engendré deux passes en plus de jouer un match parfait défensivement.

Winnipeg-aborigène || Une démoulure de "3x3 inc" [montage néo-cheap inclus]



Les Jets sont prêts, l'êtes-vous? Eh bien, une disposition apparait « élémentaire-big-time-mon-cher-Watson » en ce moment, et c’est bel et bien que les foutus Jets ont l’ignition dans les pompes, et ce, sans protecteur Tana qu’on vous dit. De prime abord, exprimons qu’ils ont littéralement enculastré tous les pronostics émis dans leur flanc cette saison et lors de l'an passé. C'est vrai, en regard de ce bilan de mi-saison tarabustant des Jets, additionné de cette deuxième moitié de campagne de la dernière saison, elle qui était saillante à la puissance maximale – tout cela après l'arrivée d'Evgeny Artyukhin et de Mike Komisarek bien sûr –, on peut donc subséquemment témoigner que Charlie Phaneuf et son style, voire son approche, semble être une recette qui en inspire plus d'un. Le plus remarquable dans ce cyber-roman à la con, c'est que tous les pseudos experts de la RSHL octroyaient le dernier rang à ces mêmes Jets. Bref, on disait que seul le fond de cale était de mise pour eux. De surplus, en guise d'injure au juron (genre style comme), des langues mal humectée verbalisaient même l'insulte jusqu'à dire que ces foutus Jets allaient imposer encore moins de respect que certains clubs du AHL. En conclusion crissement non-posthume, admirons tout simplement ce revirement de situation que ce fut, donc, et ajoutons même au passage, doigt du milieu en l'air : « Aux chiottes l’OM, aux chiottes l’OM, aux chiottes ! »


Mais au fait? A-t-il la moindre idée de ce qu'il foue, ce Phaneuf, a-t-il réellement un plan, une façon de voir les choses, ou balance-t-il aveuglement tout ce qu'il possède en mains, en tant que ressource substantielle, afin d'amener n'importe quel ludique considéré comme une « brute-sans-talent » avec le reste de la meute? Sans cervelle, ça oui, mais sans talent, vraiment? De bons soldats, du recyclage d'outils que l'on expulse généralement après usage. M'enfin, chez les Jets, pourquoi on ne fourgue pas à la ferraille, aussi rapidement qu'ailleurs, ce genre d'individus aux biceps monstrueux et que la victoire en est synonyme? On pose la question parce que récemment on a pu observer une tendance hétéro-shit chez certaines équipes de la ligue. On a pu voir les chefs de Vancouver et du New Jersey, par exemple, emprunter un chemin qui amène indubitablement vers un moule semblable à celui des Jets, tout cela selon certains échanges épiés récemment. Certains « non-homo-homologues » parmi les directeurs généraux de la ligue se demandent: qu’est-ce qui fait gagner les Jets? Ne serait-ce qu'une question d'intensité et de force brute? Bonne question Jean-Maurice. Une chose est sûre, Phaneuf a bien voulu nous éclairer sur sa façon d’orchestrer, alors nous vous avons érigé un joli papier à ce sujet et un cahier spécial-spatial devrait être publié. Ce magasine devrait être en kiosque sous peu et avec, en prime, un "center-fold" érotique du fantasme ultime des années '90, c'est-à-dire de Manon Rhéaume (âge actuel par contre), cette chaude vagine qui avait persé la LNH, bande de chanceux que vous êtes.


Du muscle, du muscle et encore du muscle. Voyant les actuels succès des Jets, Charlie Phaneuf a pris les grands moyens afin d'amener encore plus de punch à sa formation. À ce sujet, on peut dire que ce fut toute une semaine riche en émotion dans le merveilleux monde du sport, à Winnipeg. D'abord, parce que le papier de toilette et les tampons à 'vulves étaient tous les deux en rabais chez Jean-Coutu, ensuite, parce que des rumeurs allant au paroxysme de l'exaltation du fan moyen ont fusé dans tous les coins médiatiques de ladite ville, lors de la dernière semaine. Phaneuf a expliqué qu'il avait été tourmenté en voyant que certains des joueurs qu'il convoitait prenaient des chemins autres que celui qui mène vers Winnipeg. COQUINE! COQUINE! COQUINE! Eh oui, "vra-comme-chu-pu-là dans 'tête", Marc Stall et Joe Colborne, entre autres, lui ont bel et bien filé sous le nez. Il a ensuite tenté d'obtenir Milan Lucic, il voulait frapper fort, mais en vain là aussi. Selon les réseaux sociaux de Phaneuf, il a semblé être à couteaux-garochés, à un certain point durant le processus, avec les charmantes gensses du New Jersey. Après une enquête, on a pu apprendre que le DG là-bas avait refusé une offre incroyable. Nous n'avons pas eu tous les détails mais il semblerait que ce type ait refusé de donner des joueurs de son quatrième trio en retour de jeunes joueurs prometteurs. On peut comprendre le désarroi de Phaneuf, car cela impliquait des compétiteurs de la quatrième ligne, de la trentième équipe du circuit. Tsé, quand on vous disait que le moule des Jets avait pris de l'ampleur. Ou comme l'exprimait si bien l'un des Tweets de Phaneuf à ce sujet : "Y a des limites à se faire manger l'cul par les mites..."


Qu'à ces morsures dans la cyber-poussière ne tiennent, il a finalement pactisé une première fois, amenant Jacob Josefson en retour de Calvin Pickard, transigeant donc avec son bon vieil ami Yvon-Junior Desgrosorteilles Premier, GM des Sharks de San Jose, tout cela entre deux séances de "tricep-p’ticon" au gym. En définitive, Pickard était un outil qui ne secourait pas pour "l'hyper indicatif présent" de la formation et Josefson allait être l'ajout idéal pour le système des Jets. Final-bâton, comme dirait l'autre.


En ixième lieu, Phaneuf a ensuite manœuvré ce méchant sauté de la tirelire qu'est Cody Almond dans son vestiaire, un endroit où, selon Phaneuf, le jeune Cody pourra enfin égayer son propre style de hockey sans contrainte. Il est vrai qu’Almond a foutu un bordel sans borne partout où il a mis les pieds, sans parler de ses autres membres, mais justement, le vestiaire des Jets était exactement le genre de thérapie dont ce jeune homme avait besoin, apparemment. Pour ses services, on a sacrifié Devante Smith-Pelley et Brooks Laich. Pour tout dire, si le départ du premier nous a fait de la pe-peine, le bon débarras de l'autre nous l'a vite-fait oublier. Mais oh! Ce n'était pas terminé les amis, non, car Phaneuf est aussi allé chercher un certain Mark Fistric en Caroline, lui qui n'a plus besoin de présentation, contre le jeune John Ramage. Mark Fistric était convoité par Charlie Phaneuf depuis le jour 1 où il est entré en fonction dans cette ligue. En conclusion, avec ses trois chiens fous de plus dans l'alignement, l'affaire pourrait être Ketchup pour le restant de saison; Ketchup dans le sens de couleur-sang, forcément. Toujours selon cet excentrique bouffon d'assaut, les Jets chercheront à améliorer leurs effectifs de cerbères, en y allant avec un ménage à trois, et ce sans pénétration à part de t'ça ! C'est à suivre mais, déjà, Jonas Hiller fut amené dans un échange avec Columbus ce matin, mais il y avait bélouga sous roche, alors le tout fut cancellé, puis Pekka Rinne fait maintenant parti de l'organisation.

Winnipeg-aborigène || Une démoulure de "3x3 inc" [montage néo-cheap inclus]

Selon toute vraisemblance, le magasinage digne d’une femelle compulsive est bel et bien parachevé chez les Jets. Leur GM a mis la main sur Joni Pitkanen et de sa poche (de hockey là) aujourd’hui, closant ainsi cette folle semaine frénétique de mouvements de personnel. Pour tout dire, l’idée était de paqueter le club en prévision d’un hypothétique long bout de chemin sur la route de cette sixième saison RSHL. Au départ, avant que la saison ne s’entame, le plan n’était pas nécessairement de liquider aussi rapidement les jeunes, un peu comme on bousille une plantation qui n’a pas eu le temps de germer complètement. Toutefois, en apercevant l’embrasure qui semblait grande ouverte vers un succès démesuré, à l’approche des séries, les clapets se sont alors débouclées et Charlie Phaneuf a entamé le plan d’action; une opération qui a d’ailleurs pris fin cet après-midi au moyen d’un grand succès. Sa dernière acquisition fut le défenseur Joni Pitkanen les amis. Or, tout le monde sait que ces deux-là sont des complices de longue date. À ce sujet, Anton Stralman et Tim Erixon furent cyber-immolés afin de matérialiser l’obtention de celui que les intimes surnomment « Pitka ». Une bonne affaire selon Phaneuf, car oui, il est vrai que ce défenseur grand format a déçu un peu partout là où il est passé, mais la certitude que Pitkanen saura irrémédiablement devenir le pilier qu’on voyait en lui est bien réelle. Bref, en additionnant cet élancé défenseur finlandais et, du même coup, avec l’ajout de ce costaud défenseur canadien du nom de Mark Fistric, on peut ainsi affirmer, sans se tromper, que le corps défensif de Winnipeg vient d’être réellement intensifié. En prime, l’affaire s’est accomplie sans avoir à toucher aux piliers qui le composait déjà, tels : Orpik, Phaneuf, Volchenkov et Komisarek.

En dernier lieu, apostrophons aussi que l’alignement est maintenant composé de deux bons gardiens vétérans, en l’occurrence Nicklas Backstrom et le grand Pekka Rinne. Un système d’alternance sera mis en place afin d’utiliser les deux cerbères de façon égale. En conséquence, le jeune Sergei « Bob » Bobrovsky fut amené dans le giron afin de prévenir autant le futur que les éventuelles blessures, tout cela particulièrement lors des déploiements des papillons de la part des deux hommes masqués partants, eux qui ne sont plus aussi jeune qu’avant.

À l’attaque, c’est bien simple, une recette infaillible, voire un heureux mélange de force, d’intensité, d’expérience et de rapidité. D’abord, vous avez Ryane Clowe, Daren Helm et Evgeni Artyukhin, eux qui forment le premier trio d’assaut des Jets, martelant à grands coups d’épaule soir après soir les premiers trios adverses. Ces trois-là furent placés ensemble lors du prélude de la saison cinq et depuis l’équipe gagne approximativement deux challenges sur trois. Le deuxième trio est maintenant composé des deux jeunes chars d’assauts que sont Kyle Beach et Jacob Josefson, eux qui jouent en compagnie du vieux loup qu’est Shane Doan.

Qu’à ces deux trios dignes de la quatrième guerre mondiale ne tiennent, le troisième trio et le quatrième trio de l’équipe représentent bien la profondeur de l’acharnement qui sévit à Winnipeg. Vous avez d’abord Cody Almond, Luke Adam et Wayne Simmonds sur le troisième, qui serait probablement le deuxième trio de pas mal d’équipes, puis Brian Boyle, Zack Stortini et Troy Brouwer, composent le dernier trio mais non le moindre, étant pratiquement le favori des gens de la ville.

En sommes, les Jets sont présentement au troisième rang de la puissante association de l’Est après 48 matchs, tout cela avec un impressionnant total de 57 points. Les Flyers de Philadelphie sont au sommet de la montagne, avec 65 points, puis viennent les Canadiens de Montréal en deuxième position avec une récolte de 59 points. Les gens de la ville de Winnipeg vivent des moments forts cette saison et ils espèrent que l’équipe restera sur le droit chemin. Une chose est sûre, les sondages montrent qu’ils aiment ce que Phaneuf a ajouté dernièrement à la charpente de celle-ci.

excellent

haha

"Impossibru !"

Dommage tout ça pour une ronde !!!
Citation a relire dans les série !!!

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Attaboy les amis (!), la RSHL a le feu dans les bottes qu’on vous dit. Pour tout vous dire, si l’hébergeur des statistiques nous a encore une fois fait faux bond cette semaine, on peut inversement exprimer que le cyber-spectacle de ladite ligue, lui, est fidèlement en apothéose avec la puissance maximale existante. Bref, pendant que les Canadiens de Montréal continuent de maitriser ses pairs lors de la saison régulière, et ce, sans la présence d’un certain Alex Ovechkin, les Flyers de Philadelphie, eux, font de même en gagnant à bout portant, tout cela sans la présence de Chris Pronger. Dans les faits, ce n’est pas rien, surtout étant donné que la parité est de plus en plus respectable autour d’eux. Cependant, malgré la domination imposante de ces deux formations mentionnées ci-haut, on dirait qu’il y aura bel et bien un autre joueur dans la course, oui, car les Bruins de Boston se sont enfin réveillés et ils viennent apparemment de passer en mode guerre. À ce propos, ils sont présentement deuxièmes au classement de l’association de l’Est et, du même coup, sur une superbe lancée de six victoires consécutives. Parlant d’Ovechkin et des Bruins, pensez-vous que ce dernier gagnera le trophée Maurice Richard? Ou, vous êtes plutôt du genre à vous ranger en faveur de Rick Nash, des Blue Jackets. Une chose est sûre, Nash lui, ne joue pas en compagnie de Ryan Getzlaf et de Mike Green. Dans l’Ouest, ce sont enfin les Ducks d’Anaheim qui trônent au sommet. Le Directeur Général en place attendait patiemment de pouvoir remonter à la surface et l’acquisition du gardien de but Marc-André Fleury semble en effet lui avoir apporté des fruits.



Les Pingouins nouveaux et améliorés remontent.

Les Pingouins version Scharek sont à prendre au sérieux : ceux qui auraient aimé le voir se planter la face dans le mur de l’insuccès devront attendre. La formation est présentement cinquième dans l’Est et elle fait montre d’un des meilleurs différentiel des buts pours et contres de la ligue. Eh oui, quelle histoire ce fut. On se souviendra que ce controversé personnage qu'est Phil Scharek fut d'abord limogé de la RSHL, pour ensuite avoir l'opportunité de revenir aux commandes d'une puissante formation, celle des Pingouins de Pittsburgh. Pour tout dire, la formation de la Pennsylvanie semblait être bâtie afin de s’élever au rang de dynastie, mais il est aussi vrai de dire, à sa défense, qu'un léger ménage s'imposait en raison du plafond salarial, une situation qui résulte d’une dure réalité de la ligue. Cependant, contre toute attente, ce Phil Scharek entama une vente de feu qui lui a attiré énormément de critiques. Le public exprimait qu'il était en train de tout bousiller, que c’était du grand sabotage, mais, l’individu en question se protégeait en affirmant qu'il devait le faire pour ainsi posséder un sentiment d’appartenance envers son nouveau jouet, que c'était dorénavant son équipe. Il tenait à le faire, tout cela en palliant aux problèmes engendrés par les hauts salariés déjà en place. Qu'à cette folle histoire ne tienne, cette équipe impose réellement le respect par les temps qui courent et, de plus, l'avenir apparaît plus grandiose que jamais là-bas, en regard de toute la richesse-juvénile qui s'y trouve.



Les Canucks et les Sharks entrent, les Blues, les Predators et les Wings prennent la porte.

Les Canucks et les Sharks sortent des Abysses! Qu'ont ces deux formations en commun? Eh bien, voilà deux équipes qui semblaient bourrées de talent à première vue, que les médias voyaient dans les hauteurs du classement, mais que la médiocrité de leurs performances a plutôt engendré une foudroyante haine parmi énormément de titres à journaux : l'enfer qu'on vous dit. Bref, des équipes peu nanties telles les Predators, les Red Wings et les Blues de St-Louis, entre autres, occupaient des places au-dessus de la huitième position, pendant que les deux autres concessions mentionnées d’entrée de jeu moisissaient dans le fond de la cale; voire de la soute d’une association très peu compétitive : celle de l'Ouest. Subséquemment, c'était donc à n'y rien comprendre, certes, mais tout cela est honorablement sur le point de changer, car ils ont vraisemblablement la vapeur dans le toupet, le feu non dans les voiles, pis toute pis toute.

Du côté des Sharks, on semble avoir emprunté une approche légèrement plus conservatrice afin d’arriver à se sortir du bourbier, jonglant principalement avec les effectifs qu’on détenait en main-forte. Écoutez, ils se sont même départis de leur meilleur attaquant de l'an passé, soit Jacob Josefson. Cependant, quand vous avez Taylor Hall et Victor Hedman dans vos rangs, pour ne nommer que ceux-là, vous vous devez de livrer un minimum de qualité, pour ne pas que les fans se déchainent. En conclusions, disons que la tenue de leur cerbère numéro un, Evgeni Nabokov, a inquiété toute la saison durant, mais son récent séjour à la maison Jean Lapointe laisse présager de belles choses.

À Vancouver, on a pris les grands moyens pour se sortir du sable mouvant qui les attirait vers le substratum. Comme un diable non-croyant dans l'eau bénite, les dirigeants de l'équipe ont imperturbablement pris le temps d'analyser toutes les options disponibles, puis ils ont ensuite fait flèche de tout bois sur le marché des transactions. Un peu à la manière des Jets, les Canucks ont essentiellement visé des joueurs costauds et qui dégageaient énormément de chien. Déjà avec l'ajout de Bobby Ryan, la ville était passablement sur le trip, mais le succès ne voulait tout simplement pas se montrer la binette, alors Pierre Lescarbeau, tête dirigeante là-bas, est ensuite passé à la charge. Il aura donc fureté Marc Stall, Joe Colborne et Luke Schenn, entre autres, voire des gros morceaux qui ont semblé transformer à eux-seuls la mentalité des joueurs talentueux de l'équipe, eux qui, selon les échos de vestiaires, vivaient dans la complaisance de perdre. Une chose est certaine, les Canucks n'ont pas perdu beaucoup de match depuis l'arrivée du défenseur Luke Schenn et, à vrai dire, on croit actuellement que l'équipe pourra jouer pour .600 et ainsi terminer dans les hauteurs du moribond classement de l'Ouest.



The youth gone Wild

Au Minnesota, le hockey se porte à ravir malgré le régime Bouchard; régime qui en inquiétait plus d'un au début de la saison. À première vue, ce club était essentiellement composé d'individus que la plupart des experts auraient classifiés dans une catégorie digne des joueurs de soutient de l’AHL, pour une part, puis le reste semblait être principalement constitués de vieux vétérans sèches; voir des joueurs probablement rejetés par la KHL. Mais oh! Mine de rien, le Wild poursuit son chemin, lui qui est troisième dans l'Ouest, jouant du hockey de base très efficace en cette sixième saison de la RSHL. Daniel Sedin et Brad Richards ont beau afficher un affreux différentiel d’environ moins mille deux-cent trente-huit, ils ont tout de même un compteur qui affiche 48 points dans le cas de Sedin, puis 33 points au niveau de Richards. Également digne de mention, le simili-jeune Kyle Clifford qui possède présentement 38 points. Il étonne grandement et, dans son cas, disons tout simplement que c’est du simonac de gros stock, comme dirait c’te gars.



Les Panthères émergent enfin

Les dirigeants en Floride avaient beau dire que c'était enfin une bonne saison à présager, on avait tout de même du mal à les croire. Non pas que l'équipe n'était pas intéressante sur papier, du papier brun ça va de soi, non, mais le scénario semblait vouloir se répéter année après année. À vrai dire, en Floride, à chaque cyber-automne, on nous promettait mer et monde. Toutefois, ça finissait plutôt, et ce à coup sûr, au moyen d'une claque et d'une bottine dans le visage des pauvres fans. Or, cette fois, en cette sixième saison RSHL, les Panthères connaissent une saison renversante et superbe. La foule a enfin droit à de l'espoir et on a même pu vivre l'expérience du retour de ce bon vieux "Rat Patrol" dernièrement. Remarquez que dans ce cas-ci, l'ajout d'intensité et de force physique dans l'alignement partant semble directement lié aux récents succès de la formation. On a qu’à spéculer à propos de cet enragé Colton Gillies et de ce timbré qu’est Daniel Winnik, eux qui font la loi autant sur la glace que dans les rues de la ville. Ce n’est pas tout, car il faut aussi baptiser ce disjoncté Riley Cote et ce pan de mur qu’est Boris Valabik, pour ne nommer que ceux-là, afin d’appréhender toute l’ampleur des dégâts qui sévissent, là aussi, le long de la rampe.

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Sachez-le, car ça aurait l'air que le party peut reprendre à Winnipeg, qu'on nous dit. Ça se passe à Winnipeg, c'est la folie cette saison, vous en ai-je parlé auparavant? Je rigole bien sûr, car tout le monde connait l'histouère dans les moindres détails. À ce sujet, mise-à-part les soirées putes indiennes et reniflage de gaz à « lighter » (à volonté) – des soirées géniales organisées par Phaneuf dans son pied-à-terre de Winnipeg lors de chaque soir de match –, nous commencions aussi à avoir hâte que les victoires reviennent au poste. En vérité, il faut le dire, l'équipe a connu un petit creux de fesses, depuis deux cyber-semaines, et une odeur de merde planait dans l'entourage. Selon Charlie Phaneuf, ce Directeur Général disjoncté de Winnipeg, le simili-débandage des troupes est une disposition normale et, dans les faits, il est véridique que plusieurs impondérables sont venus cajoler le moral de la formation musclée récemment. Phaneuf a d'ailleurs voulu rappeler aux gens qu'il aimait l'allure du team. Donc, gagne ou perd, Phaneuf gazouille le même refrain : il adore la voie que les Jets ont empruntée et il n'entend pas changer de plan de match pour au moins cinq saisons encore. Donc, tout porte à croire que les Jets aligneront autant de muscle que dans l'émission Occupation Double pour un méchant bout et, toujours selon les dires du boss, que les frileux adverses n'ont pas fini d'en baver avec leurs carrières de chiffe molle lors de leurs affrontements versus les Jets.

De prime abord, la cause principale pour cette séquence peu reluisante que Winnipeg traverse, c'est évidemment que Dion Phaneuf fut sur la liste des blessés pour une semaine, une semaine qui a semblée paraitre pour un mois tellement le manque était pénible à constater. Ensuite, plusieurs éléments de l'organisation furent déplacés, et la symbiose des trios a consisté en un long processus, tout cela afin d'y parvenir adéquatement. Des outils tels Spencer Machacek et Jean-François Jacques se sont ajoutés à l'alignement, avant la fin des transactions, dans le but de faire des Jets une équipe éreintante de A à Z, voire une équipe prête à vous esquinter de fond en comble à chaque moment d'un match.

Dans un ordre de délire, il semble évident que tout le monde attend avec impatience la chute des foutus Jets. En réalité, cette formation n'a peut-être pas ce qu'il faut pour aspirer aux grands honneurs, mais elle possède certainement les morceaux de robot qu'il vous faut entre les mains afin de causer la surprise de l'année. Une chose est sûre, encore une fois, peu importe comment la saison se terminera, à Winnipeg, on aime bien le produit et l'histoire d'amour entre la formation et les fans ne fait que débuter. En fait, le divorce n'est pas à l'horizon, voire que c'est réellement pour le meilleur et le moins bon.

Pendant ce temps, à Calgary, une sensation de coït interrompu sévit sauvagement en ce moment, puisqu'après s'être sortis du bourbier (chaussures de golf incluses), ceux-ci sont maintenant de retour vers le fond de cale. Vraisemblablement, tout porte à croire que ce récit Waltdysnesque prendra plutôt des allures de films poches à la Wes Craven. De plus, une équipe fait totalement le contraire en ce moment, soit les Blue Jackets de Columbus, eux qui sont présentement sur une séquence renversante de huit victoires consécutives. Du gros stock tu dis? Écoute Jean-Maurice, ils sont partis du dernier rang, puis, ils occupent maintenant le septième rang. Bref, les médias ont fait la vie dure au nouveau GM là-bas, Martin Brunette, depuis son arrivée en poste, mais le vent tourne présentement et son travail commence à être reconnu malgré ses façons de faire un peu boiteuses.

L'école va probablement changer de nom pour l'école de coaching BRUNETTE-PHANEUF...